Selon la centrale, « ces deux ouvrages de construction contiennent des substances qui peuvent se révéler nocives pour l’homme et l’environnement ». Rappelant le danger que représente l’exposition à l’amiante, Denis Helme demande à ce que soient mis en œuvre « toutes les mesures qui s’imposent pour que le propriétaire dudit terrain intervienne en toute sécurité pour procéder à l’évacuation de ces déchets, considérés comme dangereux, constituant un risque majeur pour les riverains de Papeari »
Poursuivant, « Dans ce contexte, il devient primordial d’œuvrer pour mettre en sécurité les habitations qui jouxtent ledit terrain et en amont les salariés qui transbordent les déchets et exercent des missions de désamiantage sur le chantier de l’hôpital Mamao et sur le site de l’école élémentaire d’Apatea ».
Menaçant à mi-mots qu’en l’absence de réponse de la part des autorités, la centrale informera les organisations syndicales, « afin qu’ils appellent les personnels à faire valoir leur droit d’alerte et leur droit de retrait », Denis Helme demande à disposer « de la cartographie de tous les bâtiments amiantés et de ceux qui sont actuellement en démolition ».