Les manifestants se sont ensuite dirigés vers le haut-commissariat et la présidence pour remettre leur courrier. Pour le Sdiraf, l’adhésion des élus aux régimes de retraites est une nécessité. Le courrier souligne :
« Il en va de la crédibilité des élus qui veulent légiférer sur la retraite sans eux-mêmes y participer. »
La manifestation « populaire et pacifique » se voulait aussi être pour la démocratie. Le président estime que le « gouvernement est coincé parce qu’il est sous la menace de syndicalistes qui font de la politique. »
Le Sdiraf souhaite un retour au calme.
L’interview du président du Sdiraf, Emile Vernier