Des centaines de familles polynésiennes vivent aujourd’hui dans des conditions précaires : promiscuité, insalubrité… Les quartiers dans lesquels ces personnes sont installées font l’objet de programmes de réhabilitation, à l’image de Mamao Vallon.
69 familles vivent dans ce quartier de Papeete. Elles représentent un peu plus de 300 personnes, qui vivent les unes sur les autres.
Plusieurs projets de réhabilitation du quartier ont été envisagés par la mairie. Le dernier en date a été pensé par la municipalité avec le consentement des habitants.
« La commune a réalisé un certain nombre d’études pour voir la faisabilité d’un projet qui puisse bien s’intégrer dans le site. Mamao c’est multiple. il n’y a pas seulement Mamao Vallon. (…) C’est un espace qui est important qui se situe à peine à 500 mètres du centre-ville. Penser aménagement dans ce quartier, c’est prendre en compte tous les éléments nécessaires pour que les équilibres urbains puissent être conservés », explique Rémy Brillant, directeur général des services de la mairie de Papeete. « L’idée pour la commune, c’est déjà de répondre aux besoins de relogement de la population. C’est vrai qu’on a des soucis d’insalubrité, d’hygiène, de sécurité (…). L’idée c’est de reconstituer un quartier qui soit complètement intégré à la vie de la ville ».
Seul souci et de taille : le coût des travaux. Si la mairie, le Pays et l’État disposent des fonds, les futurs locataires, eux, auront plus de mal à payer un loyer.
69 familles vivent dans ce quartier de Papeete. Elles représentent un peu plus de 300 personnes, qui vivent les unes sur les autres.
Plusieurs projets de réhabilitation du quartier ont été envisagés par la mairie. Le dernier en date a été pensé par la municipalité avec le consentement des habitants.
« La commune a réalisé un certain nombre d’études pour voir la faisabilité d’un projet qui puisse bien s’intégrer dans le site. Mamao c’est multiple. il n’y a pas seulement Mamao Vallon. (…) C’est un espace qui est important qui se situe à peine à 500 mètres du centre-ville. Penser aménagement dans ce quartier, c’est prendre en compte tous les éléments nécessaires pour que les équilibres urbains puissent être conservés », explique Rémy Brillant, directeur général des services de la mairie de Papeete. « L’idée pour la commune, c’est déjà de répondre aux besoins de relogement de la population. C’est vrai qu’on a des soucis d’insalubrité, d’hygiène, de sécurité (…). L’idée c’est de reconstituer un quartier qui soit complètement intégré à la vie de la ville ».
Seul souci et de taille : le coût des travaux. Si la mairie, le Pays et l’État disposent des fonds, les futurs locataires, eux, auront plus de mal à payer un loyer.
Rédaction Web (Interview : Tauhiti Tauniua Mu San / Sam Teinaore)
Rémy Brillant, directeur général des services de la mairie de Papeete.