Il ne s’invite pas de manière anonyme dans les endroits qu’il visite. Le guide n’a pas vocation à noter les établissements. Laurent précise :
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« Critiquer : ce n’est pas notre travail. Il y a des sites qui le font pour nous. Nous, notre cœur de métier, c’est d’aller visiter, tester, sentir, pour pouvoir en parler et puis le conseiller à nos lecteurs. »
Lors de ses visites, le rédacteur fait attention à plusieurs critères qui lui permettront d’évaluer l’endroit. Laurent reprend :
« Il y a l’accueil déjà. Dans le tourisme, c’est toujours une question de personne. Il faut vivre une expérience. Se sentir bien dans un établissement, c’est la base. Et puis après, il y a l’hygiène. »
Pour les propriétaires d’établissements présents dans le guide, difficile de quantifier les bienfaits d’y apparaître. Cela reste en tout cas essentiel selon Vincent, propriétaire de la pension visitée par Laurent :
« Ne pas avoir d’outils qui permettent d’organiser son voyage en Polynésie, ce serait suicidaire. Je pense que c’est important d’aider les guides à continuer de pouvoir travailler. »
Je pense que c’est important d’avoir des guides comme le Petit futé ou d’autres.
Nouvelle édition sera tirée au mois de mai prochain. Elle sera tirée à 20 000 exemplaires. La Polynésie est toujours classée parmi les bonnes ventes pour le guide.
Retrouvez le reportage complet dans les journaux de ce dimanche.