« Les communes constatent les infractions et des dépôts sauvages mais malheureusement le circuit judiciaire derrière est très long, voir inefficace puisque la majorité des constats et des plaintes qui pourraient être engagées sont généralement sans suite » explique Gilles Lorphelin, le directeur général des services de Mahina
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« Ce n’est pas par la voie des plaintes que des solutions vont être trouvées (…) » il n’y a pas de réponses types, le problème il est là. Cela dépend du type de décharge et du type de déchet » affirme le ministre de l’Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu. »
Les solutions seraient différentes pour chaque communes et dépendraient des déchets. « Nous avons besoin de discuter avec l’ensemble des communes de Polynésie de façon à ce qu’on puisse avoir des outils juridiques et de poursuites qui soient performants comme la police de la route » ajoute Gilles Lorphelin,