Ces démissions auraient pour effet de bloquer les dossiers d’indemnisation des victimes des essais nucléaires qui comptent de nombreuses demandes de Polynésiens.
Selon Radio1, citant une source proche du dossier, deux options s’offrent au gouvernement Macron. Soit remplacer les membres démissionnaires du Civen ou, réunir la commission consultative de suivi des essais nucléaires et la commission créée en février dernier par la dernière modification de la loi Morin, dont les membres ne sont pas encore nommés.