Le projet de vœu du CESC relatif à « la mise en œuvre des politiques publiques polynésiennes à l’aune du grand débat national » a fait l’unanimité ce lundi matin. Pour la quatrième institution du Pays, il s’agit de contribuer, avec un état des lieux des problématiques locales, à ce grand débat national qui a lieu partout en France jusque fin avril.
« On estime que ce qui doit être fait a été dit, proposé, défendu au travers des Assises de l’outre-mer, au travers des Accords de l’Élysée, au travers des Accords de Papeete, au travers des États généraux…, détaille le président du CESC, Kelly Asin. Et donc pour nous il était important de reprendre l’ensemble de ces demandes parce qu’il y a quand même des demandes émanant de la société civile. »
Au total, 250 pages synthétisent les études socio-économiques du pays menées ces dernières années. Le texte sera présenté le 12 mars à l’assemblée des Conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux (CESER) de France, à Paris.
Un travail fastidieux qui a permis de dégager de grands thèmes comme « la fiscalité, le logement ou encore le développement touristique de la Polynésie française », précise le président du CESC.
Avec ces travaux, le CESC espère faire entendre la voix de la Polynésie, « que la métropole comprenne et soit à l’écoute des Polynésiens dans leurs problématiques au quotidien », confie de son côté Christophe Plée, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).
Parallèlement, le CESC appelle l’État et le Pays à poursuivre leurs actions dans le suivi et l’exécution de l’ensemble des engagements pris ces dernières années.
« On estime que ce qui doit être fait a été dit, proposé, défendu au travers des Assises de l’outre-mer, au travers des Accords de l’Élysée, au travers des Accords de Papeete, au travers des États généraux…, détaille le président du CESC, Kelly Asin. Et donc pour nous il était important de reprendre l’ensemble de ces demandes parce qu’il y a quand même des demandes émanant de la société civile. »
Au total, 250 pages synthétisent les études socio-économiques du pays menées ces dernières années. Le texte sera présenté le 12 mars à l’assemblée des Conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux (CESER) de France, à Paris.
Un travail fastidieux qui a permis de dégager de grands thèmes comme « la fiscalité, le logement ou encore le développement touristique de la Polynésie française », précise le président du CESC.
Avec ces travaux, le CESC espère faire entendre la voix de la Polynésie, « que la métropole comprenne et soit à l’écoute des Polynésiens dans leurs problématiques au quotidien », confie de son côté Christophe Plée, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME).
Parallèlement, le CESC appelle l’État et le Pays à poursuivre leurs actions dans le suivi et l’exécution de l’ensemble des engagements pris ces dernières années.
Rédaction web avec Sophie Guébel et Thierry Teamo