Certaines sont à la retraite, et grand-mères… toutes se sont retrouvées samedi autour de Mgr Coppenrath, l’un des grands artisans du foyer, qu’il a soutenu pendant des décennies. Et de Soeur Simone, l’actuelle directrice.
Si le foyer a d’abord accueilli quelques orphelines et des jeunes filles des îles éloignées, il est surtout consacré aujourd’hui à l’accueil des jeunes filles qui ont une histoire familiale difficile. Au Bon Pasteur, elles peuvent se reconstruire, et « apprendre à s’aimer », selon Rarahu Teai, l’une de leurs éducatrices. Elles y sont accueillies de 12 à 16 ans, avant de retourner dans leur famille, de trouver une famille d’accueil, ou encore d’aller dans un foyer pour jeunes adultes.
Le Bon Pasteur est un foyer tenu par les catholiques, tandis que le centre Uruai a tama, consacré aux garçons, est protestants.
Mike Leyral