» Je m’aperçois que sur l’île de Bora-Bora on a encore des enfants victimes de violence, car les parents expliquent que c’est comme ça qu’ils ont été élevé (…) et que c’est normal qu’ils soient éduqués comme ça. Moi, je dis non ! Il faudrait peut-être expliquer à ces parents qu’il faut passer à autre chose et comprendre que c’est de la violence et pas de l’éducation » explique Alexandra.
Chaque année, la gendarmerie nationale enregistre plusieurs centaines de cas de violence familiale sur le fenua.