Le début de la démolition des bâtiments de l’ancien hôpital Mamao devrait commencer dans un mois. Le Pays est propriétaire du site, mais n’a pas encore annoncé ce qu’il allait réaliser de ces 5 hectares de terrain situés dans la capitale polynésienne. La commune a déjà déposé des propositions pour redynamiser le quartier.
Le 1er adjoint au maire de Papeete a visité le chantier ce matin jeudi 28 août. Le service de l’urbanisme planche sur les orientations d’aménagements depuis 3 ans. La commune espère accueillir des commerces, des habitations et des espaces verts. A l’arrière du terrain, Papeete souhaite également l’aménagement d’un parc de loisirs, inspiré par le stade Bambridge. La mairie compte défendre ses idées. Le Pays, lui, envisage la création d’une esplanade pour accueillir les foires commerciales.
Pour l’heure, l’ancien hôpital est encore debout. Les bureaux administratifs devraient être rasés fin septembre.
Une étude de désamiantage a débuté. Des échantillons de sol, des murs, ou de faïence sont prélevés et envoyés en métropole pour analyse.
L’ancien hôpital, aux allures de bâtiment fantôme est régulièrement fouillé et vandalisé depuis sa fermeture en 2010. Sa démolition pourrait permettre de créer un nouveau poumon vert au cœur de la première ville de Tahiti.
Le 1er adjoint au maire de Papeete a visité le chantier ce matin jeudi 28 août. Le service de l’urbanisme planche sur les orientations d’aménagements depuis 3 ans. La commune espère accueillir des commerces, des habitations et des espaces verts. A l’arrière du terrain, Papeete souhaite également l’aménagement d’un parc de loisirs, inspiré par le stade Bambridge. La mairie compte défendre ses idées. Le Pays, lui, envisage la création d’une esplanade pour accueillir les foires commerciales.
Pour l’heure, l’ancien hôpital est encore debout. Les bureaux administratifs devraient être rasés fin septembre.
Une étude de désamiantage a débuté. Des échantillons de sol, des murs, ou de faïence sont prélevés et envoyés en métropole pour analyse.
L’ancien hôpital, aux allures de bâtiment fantôme est régulièrement fouillé et vandalisé depuis sa fermeture en 2010. Sa démolition pourrait permettre de créer un nouveau poumon vert au cœur de la première ville de Tahiti.