Tevaiti quant à lui, aide ses beaux parents à vendre en attendant de décrocher un emploi d’électricien. “J’attends des entretiens avec EDT. (…) Ça aide un peu financièrement.”
Tevaiti raconte qu’il avait “honte” au début et n’osait pas venir vendre en bord de route.
La honte c’est aussi ce qui freine les enfants de Philomène : “C’est comme ça nos jeunes d’aujourd’hui : “j’ai honte”. Des fois on est obligés de demander à une copine de venir aider. Mais je dois la payer.”
“Au début j’avais honte, mais après on n’a pas le choix. Je pousse les jeunes. Venez au bord de la route.”, lance Tevaiti.
Rédaction web (Interviews : Brandy Tevero / Jeanne Tinorua Tehuritaua)