La Polynésie s’est débarrassée du virus du chikungunya fin mars. Le bureau de veille sanitaire mène son enquête pour en savoir plus sur cette épidémie. Des enquêteurs passent au domicile de personne tirée au sort pour leur poser des questions sur la maladie : » est-ce qu’ils ont déjà eu le chikungunya? Si oui pendant combien de temps ? Est-ce qu’ils ont eu des séquelles (…) ? Une seconde enquête cible les 3 500 cas prouvés scientifiquement et qui présentent encore des douleurs suite à la maladie.
D’après la direction de la santé, 69 000 individus ont été atteints entre octobre et mars dernier. Mais d’après le responsable du bureau de veille sanitaire, Henri-Pierre Mallet, ils seraient beaucoup plus « Il y en a beaucoup plus ! cette enquête va permettre de nous le dire, en tout cas pour ce qui est des signes cliniques, il y aura peut être une enquête avec une étude sur le sang pou voir réellement qui a été affecté puisqu’on sait que quelques personnes ont pu être affectés et ne pas avoir eu de signes. »
D’après la direction de la santé, 69 000 individus ont été atteints entre octobre et mars dernier. Mais d’après le responsable du bureau de veille sanitaire, Henri-Pierre Mallet, ils seraient beaucoup plus « Il y en a beaucoup plus ! cette enquête va permettre de nous le dire, en tout cas pour ce qui est des signes cliniques, il y aura peut être une enquête avec une étude sur le sang pou voir réellement qui a été affecté puisqu’on sait que quelques personnes ont pu être affectés et ne pas avoir eu de signes. »