Pour John Toromona, « La semaine dernière, le tribunal administratif de Papeete a annulé la délibération du conseil municipal de Moorea en date du 9 mars 2016, refusant l’extension de la marina de Vaiare. Le tribunal a jugé que la délibération était illégale du fait que le vote ne s’était pas fait à bulletins secrets comme demandé par le groupe d’opposition ».
Poursuivant, « Samedi dernier, le maire a fait ajouter un nouveau point à l’ordre du jour du conseil municipal convoqué ce jeudi 16 février, déclarant l’urgence à délibérer à nouveau pour refuser l’extension de la marina. De quelle urgence s’agit-il ? » s’interroge le maire délégué d’Afareaitu.
Argumentant, « La délibération annulée date de près d’un an ! Peut-on sérieusement croire que le Port autonome de Papeete a gelé les 600 millions de crédits prévus en attendant la décision du tribunal administratif, alors que les travaux du terminal de croisière et ceux de la marina de Papeete vont débuter ».
Pour John Toromona, « L’urgence pour le maire, elle se situe dans un nouveau coup de force pour ne pas tenir compte de l’avis de plus de 1500 habitants de Moorea qui étaient favorables au projet alors que seulement 700 étaient contre. L’urgence du maire, c’est de s’opposer au progrès et à tout ce qui peut créer des emplois sur notre île ».
Menaçant, » Notre groupe continuera à œuvrer en faveur de l’intérêt général et s’opposera aux méthodes autoritaires du maire ».
Poursuivant, « Samedi dernier, le maire a fait ajouter un nouveau point à l’ordre du jour du conseil municipal convoqué ce jeudi 16 février, déclarant l’urgence à délibérer à nouveau pour refuser l’extension de la marina. De quelle urgence s’agit-il ? » s’interroge le maire délégué d’Afareaitu.
Argumentant, « La délibération annulée date de près d’un an ! Peut-on sérieusement croire que le Port autonome de Papeete a gelé les 600 millions de crédits prévus en attendant la décision du tribunal administratif, alors que les travaux du terminal de croisière et ceux de la marina de Papeete vont débuter ».
Pour John Toromona, « L’urgence pour le maire, elle se situe dans un nouveau coup de force pour ne pas tenir compte de l’avis de plus de 1500 habitants de Moorea qui étaient favorables au projet alors que seulement 700 étaient contre. L’urgence du maire, c’est de s’opposer au progrès et à tout ce qui peut créer des emplois sur notre île ».
Menaçant, » Notre groupe continuera à œuvrer en faveur de l’intérêt général et s’opposera aux méthodes autoritaires du maire ».
Rédaction Web avec communiqué