Leur voix n’a pas été entendue. Ni dans les réunions, ni à travers le médiateur de la Polynésie française. C’est pourquoi, l’association de riverains Ia Ora Taharu’u a décidé de faire appel à un avocat et faire un dépôt de recours. La demande concerne la suspension des travaux d’aménagement lancée par le ministre de l’Equipement.
L’association regrette un manque de transparence : « Un aménagement comme la rivière de la Taharu’u est quand même un fait important, et tenir compte du vécu des habitants, c’est important aussi. Quand vous voyez que l’étude d’impact a été présenté alors que les travaux ont déjà commencé, qu’est ce qu’on peut comprendre ? C’est que les décisions se prennent de manière coloniale, je suis désolée mais c’est encore l’autorité qui décide, il n’y a pas de démocratie », confie Claudine Tuarau, membre de l’association.
Vendredi après-midi, le juge des référés a rejeté la requête de l’association.
L’association regrette un manque de transparence : « Un aménagement comme la rivière de la Taharu’u est quand même un fait important, et tenir compte du vécu des habitants, c’est important aussi. Quand vous voyez que l’étude d’impact a été présenté alors que les travaux ont déjà commencé, qu’est ce qu’on peut comprendre ? C’est que les décisions se prennent de manière coloniale, je suis désolée mais c’est encore l’autorité qui décide, il n’y a pas de démocratie », confie Claudine Tuarau, membre de l’association.
Vendredi après-midi, le juge des référés a rejeté la requête de l’association.
Rédaction Web (Interview : Sam Teinaore)