Concernant le recours de Viti, Jean-Christophe Bouissou estime que rien n’empêche le Pays de dépasser la date d’échéance, en l’occurrence le 8 octobre, pour mieux apprécier sa position. « Ce n’est pas parce que nous avons dépassé de quelques jours, que cela nous empêche de donner notre position officielle. (…) il n’y a pas eu de courrier de transmis indiquant que nous n’étions pas favorable à cette ouverture. Notre position sera justifiée au niveau du Pays, et celle-ci sera notifié par courrier aux deux opérateurs qui ont sollicité ces licences. »
Pour le porte-parole, « Attaquer la Polynésie française, c’est se précipiter. Nous sommes en train de traiter le dossier, et si l’on nous pousse à nous expliquer devant un juge administratif, je crains fort que nous allons noyer ce dossier sous des contorsions juridiques qui n’avaient pas lieu jusqu’à présent. » Pour Jean-Christophe Bouissou, « La démarche de Viti, ralentit le processus de positionnement du gouvernement ». La décision du gouvernement devrait être donnée d’ici la fin de la semaine prochaine.