Après les pluies exceptionnelles de ce week-end, des maisons ont été inondées. En ce début de semaine, certains ont dû faire appel au service de l’Équipement pour les aider à nettoyer. Mais beaucoup de riverains sont en colère. Dans certains quartiers, des aménagements doivent être réalisés pour permettre à l’eau de s’évacuer.
À Arue, dans le quartier Bono, un homme proteste. Ce qui était à l’époque un vallon est devenu au fil des ans, une rivière, qui lors des grosses pluies, sort très vite de son lit. Pourtant, il y a cinq ans, le service de l’équipement prévoyait de construire un bassin d’orage, au fond de la vallée. Mais ces travaux n’ont jamais vu le jour.
À Arue, dans le quartier Bono, un homme proteste. Ce qui était à l’époque un vallon est devenu au fil des ans, une rivière, qui lors des grosses pluies, sort très vite de son lit. Pourtant, il y a cinq ans, le service de l’équipement prévoyait de construire un bassin d’orage, au fond de la vallée. Mais ces travaux n’ont jamais vu le jour.
Cependant, les municipalités ne sont pas les seules responsables du débordement des rivières et autres cours d’eau. « Il y a des gens qui ont balancé aussi bien des frigidaires, fours, des troncs d’arbres… Et voilà ce qui arrive aujourd’hui », explique Eric Pietri, chef d’exploitation au service de l’Équipement. Beaucoup de gens jettent encore leurs déchets dans la nature. Et lors de grosses pluies, ces encombrants font déborder les rivières. Plus tard, on retrouve aussi les détritus dans le lagon.