Le président du Civen a de nouveau demandé l’aide des services du Pays au président de la Polynésie française, qui l’a accordée. L’une des difficultés identifiées est d’entrer en contact avec les victimes et de se rapprocher d’elles pour les bilans d’expertise, ce qui est trop complexe à organiser depuis Paris où siège le Civen, souligne un communiqué de la présidence.
La délégation polynésienne pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (DSCEN) et le centre médical de suivi relevant de la direction de la santé (CMS), sont mobilisés pour organiser et accompagner au mieux cette seconde mission. Cette démarche vise également à réduire les délais d’instruction des dossiers et de traitement des demandes d’indemnisation.