C’est l’information que rapporte Le Parisien ce jeudi. Selon le journal, les deux victimes portaient des prothèses de marques différentes. Le premier cas, mortel, de lymphome anaplasique à grandes cellules avait été recensé en 2011 chez une femme ayant reçu un implant de marque Poly Implant Prothèse (PIP). À l’heure actuelle aucune marque de prothèse n’a encore été spécifiquement mise en cause dans la survenue du lymphome.
Par ailleurs, une 19e personne atteinte du lymphome a été recensée.
« Nous sommes particulièrement vigilants sur le suivi de l’affaire des prothèses mammaires, car c’est la santé des femmes qui est en jeu », déclarait il y a 15 joursn au journal Le Parisien, François Hébert, directeur général adjoint de l’ANSM.