Vendredi 15 juillet, sur la Promenade des Anglais, des hommes, des femmes, des familles se baladent. Malgré le soleil, une ambiance triste. Une tristesse qui se lit sur leur visage. Parmi eux, des Polynésiens. Teraitahi et Ruben ont près de la vingtaine. Ils étaient tous deux sur la promenade au moment du drame. Au lendemain de l’attentat du 14 juillet, une équipe de Tahiti Nui Télévision les rencontre. » Il y a toujours de la peur en moi, partout où je vais, quand je regarde les gens, on ne les connait pas, et puis il y a des gens qui ont des pensées assez négatives », confie Ruben Oliny. Son ami, Teraitahi Hanere a vécu lui aussi la tragédie. Il en ressort moins traumatisé mais témoigne la voix un peu tremblante encore : « j’étais venu ici pour passer de bonnes vacances, sauf qu’il y a eu cet attentat. Mes parents m’ont toujours dit de faire attention à moi et c’est ce que je fais. »
Vendredi dernier, première journée du deuil national de 3 jours, décrété par le président François Hollande, Emmanuel Tevenino actuellement à Nice témoigne lui aussi : « tu sens qu’il y a de la peine, qu’il y a de la douleur, les gens sont touchés, la France entière et c’est vrai que moi aussi je suis touché mais on va essayer de vivre la vie quotidienne qu’on a. »
Comme ce Marquisien, les Niçois et toutes les personnes présentes dans cette ville du Sud-Est de la France au moment de l’attentat tentent de se remettre de ce drame. Une tragédie qui a fait 84 morts.
Vendredi dernier, première journée du deuil national de 3 jours, décrété par le président François Hollande, Emmanuel Tevenino actuellement à Nice témoigne lui aussi : « tu sens qu’il y a de la peine, qu’il y a de la douleur, les gens sont touchés, la France entière et c’est vrai que moi aussi je suis touché mais on va essayer de vivre la vie quotidienne qu’on a. »
Comme ce Marquisien, les Niçois et toutes les personnes présentes dans cette ville du Sud-Est de la France au moment de l’attentat tentent de se remettre de ce drame. Une tragédie qui a fait 84 morts.
Rédaction Web avec Éric Dupuy