Depuis mi-mai, la grève d’Air Tahiti connaît plusieurs chamboulements. Des vols retardés, annulés, et des passagers qui ne peuvent prendre leur vol comme prévu. Mais la compagnie locale fait de son mieux pour essayer de se rattraper au niveau du logement. Même s’ils minimisent les conséquences, certains parlent d’une augmentation de 10% de leur chiffre d’affaires.
C’est ainsi que cette grève profite à moindre degré aux hôteliers : « Les répercussions sont quand même faibles pour nous. Nous accueillons principalement des clients locaux que la compagnie Air Tahiti prend en charge, sachant que très peu de touristes viennent chez nous, 10 environ. Sachant que les touristes étrangers sont prioritaires », a confié Philippe Vedel, directeur du Tahiti Airport Motel. Des touristes qui sont assez compréhensifs : « La majeure partie des clients prennent ça avec philosophie, plus les Français que les autres, puisqu’ils sont plus habitués aux grèves que les autres nationalités, mais je dirai que les gens qui travaillent redoublent d’effort que les désagréments soient les moins importants possibles », a déclaré Christophe Guardia, directeur du Pearl Beach Resort.
Pour ce désagrément, la compagnie aérienne alloue un budget pour la nuitée et le repas.
Rédaction Web (interview : Brandy Tevero / Emmanuel Durget)
Retrouvez le planning du mardi 24 mai ici
C’est ainsi que cette grève profite à moindre degré aux hôteliers : « Les répercussions sont quand même faibles pour nous. Nous accueillons principalement des clients locaux que la compagnie Air Tahiti prend en charge, sachant que très peu de touristes viennent chez nous, 10 environ. Sachant que les touristes étrangers sont prioritaires », a confié Philippe Vedel, directeur du Tahiti Airport Motel. Des touristes qui sont assez compréhensifs : « La majeure partie des clients prennent ça avec philosophie, plus les Français que les autres, puisqu’ils sont plus habitués aux grèves que les autres nationalités, mais je dirai que les gens qui travaillent redoublent d’effort que les désagréments soient les moins importants possibles », a déclaré Christophe Guardia, directeur du Pearl Beach Resort.
Pour ce désagrément, la compagnie aérienne alloue un budget pour la nuitée et le repas.
Rédaction Web (interview : Brandy Tevero / Emmanuel Durget)
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