« Cette journée est célébrée pour la troisième fois en Polynésie. Elle est notamment l’occasion de rappeler l’importance, pour tous, de se positionner personnellement sur le don d’organes et, surtout, de faire connaître sa décision à ses proches », indique un communiqué de la Présidence.
« En cas de décès accidentel, le temps est compté pour les équipes de prélèvement et, si la décision de la victime est connue, la famille sollicitée pourra donner au plus vite l’accord nécessaire ».
« Suite à la mise en place de la greffe rénale en 2013 en Polynésie française, 69 greffes ont été réalisées depuis cette année-là. Néanmoins, le taux de refus de prélèvement est encore trop important : près du double de celui constaté en métropole. Si les familles refusent, c’est le plus souvent parce qu’elles ne connaissent pas l’avis de leur proche décédé », souligne la Présidence.
La journée d’aujourd’hui au fenua « est centrée sur le rôle des communautés religieuses, à la fois autorités morales et puissants vecteurs d’information. Toutes sont favorables au don d’organes ».
« En cas de décès accidentel, le temps est compté pour les équipes de prélèvement et, si la décision de la victime est connue, la famille sollicitée pourra donner au plus vite l’accord nécessaire ».
« Suite à la mise en place de la greffe rénale en 2013 en Polynésie française, 69 greffes ont été réalisées depuis cette année-là. Néanmoins, le taux de refus de prélèvement est encore trop important : près du double de celui constaté en métropole. Si les familles refusent, c’est le plus souvent parce qu’elles ne connaissent pas l’avis de leur proche décédé », souligne la Présidence.
La journée d’aujourd’hui au fenua « est centrée sur le rôle des communautés religieuses, à la fois autorités morales et puissants vecteurs d’information. Toutes sont favorables au don d’organes ».
Rédaction Web avec communiqué