Et d’énumérer les points de discorde: » L’absence d’invitation aux familles de nos 203 collègues de travail et amis, le 22 décembre 2016 à la résidence du Haut commissaire. La convocation à 13 heures à Papeari du dernier contingent de surveillants stagiaires le jour de leur arrivée au Fenua, le 21 décembre 2016, pour une répétition de cérémonie ».
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Et aussi, « La méthode utilisée par la Direction Interrégionale pour combler les postes de titulaires vacants dans les établissements pénitentiaires de Polynésie française : Prioriser la mutation de cinq personnels pénitentiaires, n’ayant aucune attache au fenua au détriment de: Polynésiens dont les demandes de mutation au Centre de Détention de Papeari ont été refusées. Polynésiens inscrits sur la liste complémentaire. Polynésiens inscrits sur la liste des agents proposables au Tableau d’avancement (Promotion Interne) et Polynésiens à la recherche d’un emploi. »
Se questionnant, » Y-a-t-il deux poids deux mesures ? Sommes- nous des Français à part entière ou entièrement à part ? », Force Ouvrière réclame: « que les familles soient conviées à la cérémonie en l’honneur de leurs enfants le 22 décembre 2016 au même titre que tous les autres convives. Exigeons que le dernier contingent de surveillants stagiaires soit dispensé de se rendre à Papeari le 21 décembre 2016 et puisse profiter de leurs proches après 10 mois d’absences du Fenua et toute la fatigue accumulée après 24 heures de vol. Disons « NON » à ces cinq mutations sur cinq postes de titulaires vacants qui pourraient intéresser cinq de nos enfants à la recherche d’un emploi . »