C’est une grande nouveauté ! Les élèves de sixièmes ne seront plus notés, dès la rentrée prochaine au collège Taaone. Finis les contrôles qui seront remplacés par des évaluations, pour savoir si les élèves ont acquis ou non les notions. La réforme est déjà en cours dans le primaire. Progressivement, elle devrait se prolonger jusqu’en troisième.
Le but ? Expliquer précisément ce qui est acquis et ce qui ne l’est pas. Mais aussi réduire l’angoisse des contrôles, comme l’explique Sylvain Droguet, professeur de mathématiques au collège Taaone.
Il faudra encore convaincre les parents, habitués aux notes depuis leur enfance. Les élèves, eux, sont mitigés, comme l’expliquent dans ce reportage les élèves de sixième Apetahi (Ravahere Avaeoru, Téo Lesueur et Arthur Janning).
C’est donc la fin de la compétition des notes entre les élèves. En revanche, chacun pourra identifier précisément là où il est en difficulté, et travailler ces points en particulier, comme l’explique Guillaume Froeschel, principal du collège Taaone.
Ce ne sera pas la seule innovation. L’an prochain, le collège va créer un groupe de 90 élèves, l’équivalent de 4 classes. Et chacun de ces élèves changera de classe selon son niveau dans les matières principales. Là aussi, le but est de proposer une pédagogie différenciée adaptée à chaque élève, pour éviter le décrochage.
Il n’y aura plus de classement non plus. Chaque élève connaîtra ses progrès par rapport aux savoirs qu’il aura acquis, et non par rapport aux autres.
Alors que les notes ne permettent pas aux élèves de savoir ce qu’ils ont compris, ou pas compris. Le socle commun se retrouve dans les bases à acquérir avant la fin du collège.
Le problème sera la lisibilité pour les parents, habitués aux notes depuis leur enfance. Mais ils sauront précisément ce que leur enfant doit travailler.
Reste aux élèves à se faire à cette nouvelle méthode, car beaucoup aiment la compétition des notes, surtout les petits.
Retrouvez toutes les explications dans ce reportage exclusif TNTV.
Le but ? Expliquer précisément ce qui est acquis et ce qui ne l’est pas. Mais aussi réduire l’angoisse des contrôles, comme l’explique Sylvain Droguet, professeur de mathématiques au collège Taaone.
Il faudra encore convaincre les parents, habitués aux notes depuis leur enfance. Les élèves, eux, sont mitigés, comme l’expliquent dans ce reportage les élèves de sixième Apetahi (Ravahere Avaeoru, Téo Lesueur et Arthur Janning).
C’est donc la fin de la compétition des notes entre les élèves. En revanche, chacun pourra identifier précisément là où il est en difficulté, et travailler ces points en particulier, comme l’explique Guillaume Froeschel, principal du collège Taaone.
Ce ne sera pas la seule innovation. L’an prochain, le collège va créer un groupe de 90 élèves, l’équivalent de 4 classes. Et chacun de ces élèves changera de classe selon son niveau dans les matières principales. Là aussi, le but est de proposer une pédagogie différenciée adaptée à chaque élève, pour éviter le décrochage.
Il n’y aura plus de classement non plus. Chaque élève connaîtra ses progrès par rapport aux savoirs qu’il aura acquis, et non par rapport aux autres.
Alors que les notes ne permettent pas aux élèves de savoir ce qu’ils ont compris, ou pas compris. Le socle commun se retrouve dans les bases à acquérir avant la fin du collège.
Le problème sera la lisibilité pour les parents, habitués aux notes depuis leur enfance. Mais ils sauront précisément ce que leur enfant doit travailler.
Reste aux élèves à se faire à cette nouvelle méthode, car beaucoup aiment la compétition des notes, surtout les petits.
Retrouvez toutes les explications dans ce reportage exclusif TNTV.