En ce premier dimanche de l’année, c’est la célébration de l’épiphanie. Dans une pâtisserie de la capitale, Tahiti Nui Télévision a pu constater une affluence particulière. 500 galettes ont été préparées dans la nuit, dont 150 étaient déjà réservées. Pour cette pâtisserie c’est un des meilleurs jours de l’année en termes de chiffre d’affaires.
Alexandre Acquaro, chef pâtissier, explique que la réalisation de ces 500 galettes en si peu de temps : « ça demande une bonne mise en place, surtout que l’épiphanie cette année est assez proche du jour de l’an. Donc il a fallu aller très vite. »
L’un des éléments incontournables de cette galette est aussi la fève. Cette année, dans à la pâtisserie St Hilaire, ce sont les figurines de dessins animés qui sont à l’honneur. Et beaucoup de personnes ne rigolent pas avec la fève, alors le chef pâtissier indique : « les gens apprécient aussi les fèves. Il y a les collectionneurs donc ce n’est pas négligeable. Il faut faire attention à ce que les gens aient une fève de qualité. Surtout les enfants, je pense. «
L’Épiphanie est une fête religieuse célébrant l’arrivée des trois rois mages Melchior, Balthazar et Gaspard auprès de Jésus peu après sa naissance. La tradition veut que le 6 janvier ou le premier dimanche de l’année les chrétiens dégustent une galette des Rois lors de cet événement.
Ce dimanche matin, dès 6 heures, la pâtisserie a été prise d’assaut par des clients impatients de récupérer leur galette des Rois. Les clients avaient le choix entre des galettes au coco, à la goyave ou à la pomme, mais beaucoup préfèrent encore la traditionnelle frangipane.
La tradition perdure donc, mais très peu de personnes présentes ce dimanche matin semblaient connaître l’origine de cette fête.
Tania Bontant, une cliente indique : « l’épiphanie c’est un peu aller vers les rois mages. C’est la suite de ce qui s’est passé après la naissance du Christ. (…)La galette des Rois c’est un peu l’histoire des rois mages, mais je pense quand même que c’est la suite de la naissance du Christ. »
Enfin pour ceux qui n’aiment pas les galettes, le chef a aussi préparé des « brioches des Rois ». Moins connues c’est pourtant une autre pâtisserie traditionnelle, consommée le jour de l’épiphanie.
Alexandre Acquaro, chef pâtissier, explique que la réalisation de ces 500 galettes en si peu de temps : « ça demande une bonne mise en place, surtout que l’épiphanie cette année est assez proche du jour de l’an. Donc il a fallu aller très vite. »
L’un des éléments incontournables de cette galette est aussi la fève. Cette année, dans à la pâtisserie St Hilaire, ce sont les figurines de dessins animés qui sont à l’honneur. Et beaucoup de personnes ne rigolent pas avec la fève, alors le chef pâtissier indique : « les gens apprécient aussi les fèves. Il y a les collectionneurs donc ce n’est pas négligeable. Il faut faire attention à ce que les gens aient une fève de qualité. Surtout les enfants, je pense. «
L’Épiphanie est une fête religieuse célébrant l’arrivée des trois rois mages Melchior, Balthazar et Gaspard auprès de Jésus peu après sa naissance. La tradition veut que le 6 janvier ou le premier dimanche de l’année les chrétiens dégustent une galette des Rois lors de cet événement.
Ce dimanche matin, dès 6 heures, la pâtisserie a été prise d’assaut par des clients impatients de récupérer leur galette des Rois. Les clients avaient le choix entre des galettes au coco, à la goyave ou à la pomme, mais beaucoup préfèrent encore la traditionnelle frangipane.
La tradition perdure donc, mais très peu de personnes présentes ce dimanche matin semblaient connaître l’origine de cette fête.
Tania Bontant, une cliente indique : « l’épiphanie c’est un peu aller vers les rois mages. C’est la suite de ce qui s’est passé après la naissance du Christ. (…)La galette des Rois c’est un peu l’histoire des rois mages, mais je pense quand même que c’est la suite de la naissance du Christ. »
Enfin pour ceux qui n’aiment pas les galettes, le chef a aussi préparé des « brioches des Rois ». Moins connues c’est pourtant une autre pâtisserie traditionnelle, consommée le jour de l’épiphanie.
Rédaction web ( Interview de Matahi Tutavae)
Alexandre Acquaro, chef pâtissier
Tania Bontant, une cliente