Le ministre de la Promotion des langues, de la Culture, de la Communication et de l’Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, a été reçu, mercredi après-midi, à Paris, au ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie par Guillaume Leforestier, directeur adjoint de cabinet de Ségolène Royal. Les discussions ont notamment porté sur l’actualisation de la convention cadre Etat-Pays, en matière d’environnement et de développement durable, détaille la présidence dans un communiqué.
L’accord, signé en 2009, prévoit des échanges d’informations, un appui technique méthodologique, scientifique et juridique, la réalisation d’expertises et d’audits, de la formation et un soutien financier.
Heremoana Maamaatuaiahutapua exprimé le souhait d’actualiser la convention dans l’objectif de favoriser la mise en œuvre des stratégies du Pays relatives à la préservation de la biodiversité et au développement durable, mais aussi d’adapter et consolider la réglementation dans ces domaines, avec en particulier, la mise en place d’une police verte efficace.
Dans un contexte de changement climatique, Heremoana Maamaatuaiahutapu a insisté sur la volonté du gouvernement local, de renforcer la prise en compte de l’environnement et de la culture dans tous les pans de la vie économique et sociale de la collectivité. Les échanges ont également porté sur le principe de mises à disposition de fonctionnaires d’Etat, dans le cadre de la convention.
Heremoana Maamaatuaiahutapu a par ailleurs sollicité une mission d’aide et d’assistance technique, dans la perspective du renforcement des capacités et de la réorganisation de la cellule en charge des installations classées de la direction de l’environnement (ICPE).
De manière plus générale, le ministre a présenté les opérations de préservation de la biodiversité et des ressources naturelles locales, mises en œuvre par le Pays (préservation des plateaux du mont Temehani, lutte contre les espèces envahissantes, bonne qualité des eaux et plan d’action rivière…) et souligné sa volonté de renforcer ces politiques publiques. Il a demandé dans cette perspective un accompagnement de l’Etat.
L’accord, signé en 2009, prévoit des échanges d’informations, un appui technique méthodologique, scientifique et juridique, la réalisation d’expertises et d’audits, de la formation et un soutien financier.
Heremoana Maamaatuaiahutapua exprimé le souhait d’actualiser la convention dans l’objectif de favoriser la mise en œuvre des stratégies du Pays relatives à la préservation de la biodiversité et au développement durable, mais aussi d’adapter et consolider la réglementation dans ces domaines, avec en particulier, la mise en place d’une police verte efficace.
Dans un contexte de changement climatique, Heremoana Maamaatuaiahutapu a insisté sur la volonté du gouvernement local, de renforcer la prise en compte de l’environnement et de la culture dans tous les pans de la vie économique et sociale de la collectivité. Les échanges ont également porté sur le principe de mises à disposition de fonctionnaires d’Etat, dans le cadre de la convention.
Heremoana Maamaatuaiahutapu a par ailleurs sollicité une mission d’aide et d’assistance technique, dans la perspective du renforcement des capacités et de la réorganisation de la cellule en charge des installations classées de la direction de l’environnement (ICPE).
De manière plus générale, le ministre a présenté les opérations de préservation de la biodiversité et des ressources naturelles locales, mises en œuvre par le Pays (préservation des plateaux du mont Temehani, lutte contre les espèces envahissantes, bonne qualité des eaux et plan d’action rivière…) et souligné sa volonté de renforcer ces politiques publiques. Il a demandé dans cette perspective un accompagnement de l’Etat.