« Engagé au sein du bataillon du Pacifique à 16 ans pour défendre les valeurs de la France contre le nazisme, le dernier des Tamarii volontaires, Ari Wong Kim, nous a quittés. J’exprime la reconnaissance de la République et mon immense respect pour lui et tous ses frères d’armes », écrit le président de la République sur X.
Le ministère des Armées a également salué, dans un communiqué, la mémoire de Ari Wong Kim, « un nom qui force le respect ». Plusieurs grands médias nationaux consacrent aussi des articles à la disparition du dernier des Tamarii volontaires, notamment les quotidiens Le Parisien et Libération qui retracent son parcours.