En présence de Thierry Delmas, directeur de cabinet du ministère, de Stéphane Le Ray, secrétaire général du Vice-rectorat, et de l’équipe de direction de la DGEE, la ministre a présenté à plus de 110 associations de parents d’élèves connectées les conditions sanitaires de rentrée et a répondu directement aux interrogations des parents.
“C’est une première, explique la ministre, invitée de notre journal. Ça va être pérennisé. On a besoin d’échanges. Pour eux bien évidemment c’est une belle surprise. En tous les cas les échanges sont riches.”
Les représentants des parents d’élèves se sont largement exprimés et ont souhaité pouvoir jouer un rôle actif dans la lutte contre la déscolarisation et le décrochage scolaire. La ministre a souligné que la lutte contre la covid devait se poursuivre grâce à la mobilisation de tous, des parents, des communes, ainsi que des personnels de l’Education et des élèves.
Certains enfants ne sont pas retournés à l’école et suivent toujours les cours à distance. Ils ne sont pas pour autant privés de leurs aides et allocations, a souligné la ministres : “pour moi, les enfants qui continuent la scolarisation de la maison sont quand même à l’école. Donc il y a une procédure qui a été mise en place envers ces élèves besoins particuliers avec une pathologie très lourde, très importante. Ils sont autorisés à continuer leur scolarité à domicile puisqu’ils sont accompagnés et suivis par les pédagogues, les chefs d’établissements, la DGEE.”
Mais, “il faut vraiment suivre la procédure”, prévient Christelle Lehartel. “Il faut rencontrer le chef d’établissement, il y a une procédure à suivre. Ce n’est sûrement pas pour ces élèves là que je vais arrêter la CPS. Ils sont à l’école mais à domicile.”
Concernant les examens, le contrôle continu est toujours d’actualité.