Quatre habitants du centre de Montpellier ont contracté le virus du chikungunya « alors qu’il ne rentraient pas de voyage », a indiqué aujourd’hui,mardi, la préfecture de l’Hérault.
La préfecture, qui n’a pas donné plus de précisions, a confirmé une information de France 3 Languedoc-Roussillon. Selon la chaîne, il s’agirait des membres d’une même famille.
Un point-presse de l’agence régionale de santé (ARS) a eu lieu dans l’après-midi. Selon l’agence, les quatre personnes sont « guéries et en bonne santé ». L’ARS a par ailleurs précisé que « afin de prévenir toute dissémination du virus, et conformément au plan national anti-dissémination de la dengue et du chikungunya, les mesures de surveillance épidémiologique et entomologique sont renforcées. En particulier, des actions de démoustication sont en cours autour de la zone de résidence des personnes contaminées ».
La préfecture, qui n’a pas donné plus de précisions, a confirmé une information de France 3 Languedoc-Roussillon. Selon la chaîne, il s’agirait des membres d’une même famille.
Un point-presse de l’agence régionale de santé (ARS) a eu lieu dans l’après-midi. Selon l’agence, les quatre personnes sont « guéries et en bonne santé ». L’ARS a par ailleurs précisé que « afin de prévenir toute dissémination du virus, et conformément au plan national anti-dissémination de la dengue et du chikungunya, les mesures de surveillance épidémiologique et entomologique sont renforcées. En particulier, des actions de démoustication sont en cours autour de la zone de résidence des personnes contaminées ».
Selon le journal Le Monde, une opération de porte à porte démarre jeudi matin avec un double objectif : d’une part, elle vise à essayer de retrouver le « cas index », en l’occurrence la personne qui est entrée sur le territoire métropolitain porteuse du virus du chikungunya et, d’autre part, elle permettra de découvrir d’éventuels autres cas dans le quartier où résidait la famille.