Selon les praticiens, leur patience, « a atteint ses plus extrêmes limites, 8 ans et 5 grèves (2009, 2010, 2011, 2013, 2016) après le 1er protocole d’accord, et toujours en attente de l’application du dernier en date, 15 jours après le dépôt d’un courrier rappelant au gouvernement ses engagements, et ce après de multiples tentatives de contacts depuis les derniers mois ».
Pour eux, « La rupture est consommée, le seul moyen de renouer avec le dialogue social est d’utiliser l’obligation légale de négocier pendant un préavis de grève ».
Poursuivant, « A la revendication qui n’est plus négociable, concernant l’ensemble des points du protocole de 2016 (reprise d’ancienneté, prolongation d’activité au-delà de la limite d’âge, mise en conformité du texte sur la permanence des soins des hôpitaux de la direction de la santé, discussions sur la réforme du statut et sur l’insuffisance des cotisations de la retraite des praticiens hospitaliers), s’ajoutent de nouvelles revendications. »
Selon eux, « Ces revendications tentent de répondre au besoin immédiat d’attractivité des médecins (assurance retraite, prolongation d’activité, formation post-universitaire). », estimant que « La pénurie de médecins, catastrophique en métropole, entraine des difficultés de plus en plus importantes pour recruter des médecins en Polynésie française. »
Arguant que « Les médecins ont forcément commencé leur carrière ailleurs avant de rejoindre la Polynésie. Le statut des praticiens hospitaliers de métropole a considérablement évolué alors que celui de la Polynésie française en est toujours à sa version de 1996, soit 20 ans de retard »; les praticiens estiment que « L’attractivité nécessaire au recrutement de médecins compétents, n’est plus suffisante. Des postes restent vacants, et des contrats hors statut sont votés par le conseil des ministres pour embaucher sur des spécialités en manque critique de médecins ».
Constatant que « Les médecins ont de plus en plus de difficultés à avoir les moyens de soigner les malades dans les hôpitaux de Polynésie française, en raison d’un financement insuffisant et d’un statut administratif qui n’est pas adapté à l’hôpital », Le syndicat des praticiens hospitaliers réclame « des dotations en rapport avec l’activité médicale, et un statut d’établissement hospitalier. »
Prévenant que « Si à l’issue de ce préavis de grève, ces revendications ne sont pas satisfaites », le SPHPF « appellera les praticiens hospitaliers des hôpitaux de Tahiti et des îles à un arrêt de travail pour une durée illimitée le lundi 6 novembre ».
Pour eux, « La rupture est consommée, le seul moyen de renouer avec le dialogue social est d’utiliser l’obligation légale de négocier pendant un préavis de grève ».
Poursuivant, « A la revendication qui n’est plus négociable, concernant l’ensemble des points du protocole de 2016 (reprise d’ancienneté, prolongation d’activité au-delà de la limite d’âge, mise en conformité du texte sur la permanence des soins des hôpitaux de la direction de la santé, discussions sur la réforme du statut et sur l’insuffisance des cotisations de la retraite des praticiens hospitaliers), s’ajoutent de nouvelles revendications. »
Selon eux, « Ces revendications tentent de répondre au besoin immédiat d’attractivité des médecins (assurance retraite, prolongation d’activité, formation post-universitaire). », estimant que « La pénurie de médecins, catastrophique en métropole, entraine des difficultés de plus en plus importantes pour recruter des médecins en Polynésie française. »
Arguant que « Les médecins ont forcément commencé leur carrière ailleurs avant de rejoindre la Polynésie. Le statut des praticiens hospitaliers de métropole a considérablement évolué alors que celui de la Polynésie française en est toujours à sa version de 1996, soit 20 ans de retard »; les praticiens estiment que « L’attractivité nécessaire au recrutement de médecins compétents, n’est plus suffisante. Des postes restent vacants, et des contrats hors statut sont votés par le conseil des ministres pour embaucher sur des spécialités en manque critique de médecins ».
Constatant que « Les médecins ont de plus en plus de difficultés à avoir les moyens de soigner les malades dans les hôpitaux de Polynésie française, en raison d’un financement insuffisant et d’un statut administratif qui n’est pas adapté à l’hôpital », Le syndicat des praticiens hospitaliers réclame « des dotations en rapport avec l’activité médicale, et un statut d’établissement hospitalier. »
Prévenant que « Si à l’issue de ce préavis de grève, ces revendications ne sont pas satisfaites », le SPHPF « appellera les praticiens hospitaliers des hôpitaux de Tahiti et des îles à un arrêt de travail pour une durée illimitée le lundi 6 novembre ».
Rédaction web avec communiqué