Dans un communiqué, la Veille sanitaire rappelle que le « virus de la dengue de type 1 continue à sévir sur tout le territoire, affectant les personnes non encore immunisées. Les touristes ou arrivants récents sont le plus affectés, et surtout les jeunes enfants qui ne sont pas encore immunisés. Les enfants de moins de 10 ans ont ainsi représenté près de 40 % des 4 324 cas confirmés ces 3 dernières années.
Si le nombre de cas confirmés de dengue a diminué en 2015 en comparaison de 2014 et 2013, le pourcentage d’hospitalisations tend à augmenter (128 hospitalisations pour 917 cas en 2015 à ce jour). Les enfants de moins de 10 ans représentent plus de 50 % des hospitalisations mais aussi des formes sévères de la maladie.
Les formes sévères peuvent être liées à des manifestations neurologiques ou cardiaques, un état de choc ou des hémorragies importantes. Elles peuvent conduire au décès dans de rares cas.
En Polynésie française, 2 décès liés à la dengue sont survenus en 2013 et 1 en 2014. En 2015 et à ce jour, 2 décès ont été rapportés chez des enfants de 6 et 4 ans, aux Marquises en mai et à Tahiti en décembre.
En cas de fièvre élevée avec céphalées et douleurs, il est conseillé de consulter un médecin pour confirmer le diagnostic et vérifier l’absence de signes de gravité. Si les douleurs s’aggravent ou si des troubles de la conscience ou difficultés respiratoires apparaissent, il est nécessaire de contacter un médecin ou d’appeler le 15
Face à cette maladie et aux risques de survenue d’autres maladies, la lutte contre les moustiques doit être la priorité, en recherchant et détruisant les gîtes de développement des larves, qui sont plus nombreux lors de la saison pluvieuse. Il est également essentiel de se protéger des piqûres par des répulsifs, et en particulier les enfants. »
Si le nombre de cas confirmés de dengue a diminué en 2015 en comparaison de 2014 et 2013, le pourcentage d’hospitalisations tend à augmenter (128 hospitalisations pour 917 cas en 2015 à ce jour). Les enfants de moins de 10 ans représentent plus de 50 % des hospitalisations mais aussi des formes sévères de la maladie.
Les formes sévères peuvent être liées à des manifestations neurologiques ou cardiaques, un état de choc ou des hémorragies importantes. Elles peuvent conduire au décès dans de rares cas.
En Polynésie française, 2 décès liés à la dengue sont survenus en 2013 et 1 en 2014. En 2015 et à ce jour, 2 décès ont été rapportés chez des enfants de 6 et 4 ans, aux Marquises en mai et à Tahiti en décembre.
En cas de fièvre élevée avec céphalées et douleurs, il est conseillé de consulter un médecin pour confirmer le diagnostic et vérifier l’absence de signes de gravité. Si les douleurs s’aggravent ou si des troubles de la conscience ou difficultés respiratoires apparaissent, il est nécessaire de contacter un médecin ou d’appeler le 15
Face à cette maladie et aux risques de survenue d’autres maladies, la lutte contre les moustiques doit être la priorité, en recherchant et détruisant les gîtes de développement des larves, qui sont plus nombreux lors de la saison pluvieuse. Il est également essentiel de se protéger des piqûres par des répulsifs, et en particulier les enfants. »
(Communiqué de presse)