Les drones ont encore été plébiscités sous le sapin, Noël dernier. Mais ces petits engins volants peuvent causer des accidents, ce à quoi ne pensent pas forcément les utilisateurs, qui sont de plus en plus nombreux.
Les règles de base sont multiples : interdiction de survol des sites sensibles, qui sont tous référencés, interdiction des vols de nuit et au-dessus du public, mais aussi respect des hauteurs.
Et depuis peu, la législation s’est encore durcie pour les amateurs. Désormais, pour prendre les commandes d’un engin de plus de 800 grammes, il est imposé de l’enregistrer auprès des autorités. Mais le pilote doit aussi suivre une formation en ligne sur le site Fox Alpha Tango. Une évolution des textes devenue nécessaire.
« Pour les drones de plus de 800 grammes, on essaie de savoir ce qui est dans la nature et de mieux contrôler, explique Myriam Reverdy, inspecteur de surveillance à l’Aviation civile. Parce que plus c’est lourd et plus c’est dangereux. On a décidé de mettre à 800 grammes parce que c’est une bonne limite, mais à tout moment on peut faire un autre décret qui abaisserait cette limite. »
Du côté des utilisateurs, nous avons rencontré Moana, qui s’est offert son premier drone il y a peu. Un engin dernier cri de plus de 800 grammes. Informé de la nouvelle réglementation, il a obtenu son attestation de formation il y a tout juste un mois : « Il y a une formation avec des images, puis un test sous forme de QCM, raconte-t-il. Il faut faire un sans-faute pour l’avoir. Mais s’il y a des fautes, on peut le passer plusieurs fois jusqu’à obtenir l’attestation, qui est valable 5 ans. »
Il ne lui a fallu qu’une journée pour obtenir son attestation, qui est gratuite. Un moindre effort quand on sait que le non-respect de la réglementation peut avoir de lourdes conséquences. « À l’Aviation civile, on a des signalements de personnes qui ont fait voler des drones au-dessus de gens, reprend Myriam Reverdy. Et là, on peut saisir la gendarmerie. »
Ces dernières années, plusieurs pilotes de drone ont d’ailleurs atterri au tribunal de Papeete avec, à l’issue, de fortes amendes à payer.
Les règles de base sont multiples : interdiction de survol des sites sensibles, qui sont tous référencés, interdiction des vols de nuit et au-dessus du public, mais aussi respect des hauteurs.
Et depuis peu, la législation s’est encore durcie pour les amateurs. Désormais, pour prendre les commandes d’un engin de plus de 800 grammes, il est imposé de l’enregistrer auprès des autorités. Mais le pilote doit aussi suivre une formation en ligne sur le site Fox Alpha Tango. Une évolution des textes devenue nécessaire.
« Pour les drones de plus de 800 grammes, on essaie de savoir ce qui est dans la nature et de mieux contrôler, explique Myriam Reverdy, inspecteur de surveillance à l’Aviation civile. Parce que plus c’est lourd et plus c’est dangereux. On a décidé de mettre à 800 grammes parce que c’est une bonne limite, mais à tout moment on peut faire un autre décret qui abaisserait cette limite. »
Du côté des utilisateurs, nous avons rencontré Moana, qui s’est offert son premier drone il y a peu. Un engin dernier cri de plus de 800 grammes. Informé de la nouvelle réglementation, il a obtenu son attestation de formation il y a tout juste un mois : « Il y a une formation avec des images, puis un test sous forme de QCM, raconte-t-il. Il faut faire un sans-faute pour l’avoir. Mais s’il y a des fautes, on peut le passer plusieurs fois jusqu’à obtenir l’attestation, qui est valable 5 ans. »
Il ne lui a fallu qu’une journée pour obtenir son attestation, qui est gratuite. Un moindre effort quand on sait que le non-respect de la réglementation peut avoir de lourdes conséquences. « À l’Aviation civile, on a des signalements de personnes qui ont fait voler des drones au-dessus de gens, reprend Myriam Reverdy. Et là, on peut saisir la gendarmerie. »
Ces dernières années, plusieurs pilotes de drone ont d’ailleurs atterri au tribunal de Papeete avec, à l’issue, de fortes amendes à payer.
Rédaction web avec Jean-Baptiste Calvas et Naea Bennett
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