La filière Communication visuelle plurimédia (CVP) se déroule sur trois années avec à la clé un bac professionnel. Elle accueille 61 élèves. D’année en année, elle su se faire connaître. Depuis quelques temps, l’établissement professionnel de Pirae recense jusqu’à 80 demandes d’inscription. Cependant, l’intitulé de la filière porte parfois à confusion pour les passionnés de dessins ou de multimédia.
« Ce sont des parents la plupart qui viennent se renseigner sur la filière. Mais il y a aussi des collégiens et des lycéens qui s’y intéressent. Le problème, c’est que la plupart pensent qu’on ne fait que du dessin, du graphisme et du multimédia. Mais non. On leur dit que la filière CVP est destinée à ceux qui sont sensibles à l’art et ils doivent être formés sur tout l’ensemble. C’est quand même de l’enseignement général et professionnel », précise Mira Tchen, professeur en arts appliqués et communication graphique.
Même si la formation de base est destiné au graphisme et au domaine du multimédia, les élèves de Communication visuelle plurimédia suivront donc aussi des matières générales comme l’anglais, le tahitien, l’éco-gestion, le français ou encore l’histoire-géographie.
« Ce sont des parents la plupart qui viennent se renseigner sur la filière. Mais il y a aussi des collégiens et des lycéens qui s’y intéressent. Le problème, c’est que la plupart pensent qu’on ne fait que du dessin, du graphisme et du multimédia. Mais non. On leur dit que la filière CVP est destinée à ceux qui sont sensibles à l’art et ils doivent être formés sur tout l’ensemble. C’est quand même de l’enseignement général et professionnel », précise Mira Tchen, professeur en arts appliqués et communication graphique.
Même si la formation de base est destiné au graphisme et au domaine du multimédia, les élèves de Communication visuelle plurimédia suivront donc aussi des matières générales comme l’anglais, le tahitien, l’éco-gestion, le français ou encore l’histoire-géographie.
À quelques mois de finir l’année scolaire, la soixantaine d’élèves de la CVP réalise un projet. C’est un moyen de mettre en pratique le savoir-faire assimilé durant l’année.
« Depuis 1 semaine on a commencé à préparer un projet qui est un mini journal (JT). Ce n’est pas un JT qui va être diffusé à un grand public. C’est fictif et c’est pour former nos élèves à mieux comprendre les principes du métier : le journalisme. Dans la filière CVP on présente un panel de métiers aux élèves. On leur permet d’être dans la peau d’un professionnel. Que ce soit un directeur artistique, un artiste peintre, un journaliste en presse écrite ou en radio et même en télé. Concernant le projet, les élèves sont dans la peau d’un journaliste et d’un présentateur télé. Le JT sera présenté uniquement au sein de l’établissement. Il se prépare sur cette journée portes ouvertes et la production sera normalement terminée la semaine prochaine pour une diffusion à la rentrée scolaire du mois d’avril » explique Mira Tchen.
Le projet est réalisé par l’ensemble des élèves de la classe CVP. Les rôles et fonctions de chacun sont bien définis. Outre les élèves qui joueront le rôle de journaliste et de présentateur TV, il y en a qui se mettront dans la peau d’un caméraman, d’un reporter ou encore d’un chroniqueur. Pour la réalisation de ce projet uniquement, 6 heures de cours leur sont nécessaire.
« Pendant les cours, nous sommes là pour les guider, les conseiller et mieux les orienter et parfois même à apporter des corrections. Mais ils ont déjà travaillé, à titre personnel, sur le projet » poursuit Mira Tchen.
Après le baccalauréat, ces futurs journalistes, chroniqueurs ou encore infographistes pourront prétendre à une licence dans le domaine de la communication. L’ISEPP en propose justement et, récemment l’université de la Polynésie française a ouvert un DU de journalisme.
Selon Mira Tchen, la communication est « un secteur porteur d’emploi ». De quoi motiver les élèves de la CVP.
« Depuis 1 semaine on a commencé à préparer un projet qui est un mini journal (JT). Ce n’est pas un JT qui va être diffusé à un grand public. C’est fictif et c’est pour former nos élèves à mieux comprendre les principes du métier : le journalisme. Dans la filière CVP on présente un panel de métiers aux élèves. On leur permet d’être dans la peau d’un professionnel. Que ce soit un directeur artistique, un artiste peintre, un journaliste en presse écrite ou en radio et même en télé. Concernant le projet, les élèves sont dans la peau d’un journaliste et d’un présentateur télé. Le JT sera présenté uniquement au sein de l’établissement. Il se prépare sur cette journée portes ouvertes et la production sera normalement terminée la semaine prochaine pour une diffusion à la rentrée scolaire du mois d’avril » explique Mira Tchen.
Le projet est réalisé par l’ensemble des élèves de la classe CVP. Les rôles et fonctions de chacun sont bien définis. Outre les élèves qui joueront le rôle de journaliste et de présentateur TV, il y en a qui se mettront dans la peau d’un caméraman, d’un reporter ou encore d’un chroniqueur. Pour la réalisation de ce projet uniquement, 6 heures de cours leur sont nécessaire.
« Pendant les cours, nous sommes là pour les guider, les conseiller et mieux les orienter et parfois même à apporter des corrections. Mais ils ont déjà travaillé, à titre personnel, sur le projet » poursuit Mira Tchen.
Après le baccalauréat, ces futurs journalistes, chroniqueurs ou encore infographistes pourront prétendre à une licence dans le domaine de la communication. L’ISEPP en propose justement et, récemment l’université de la Polynésie française a ouvert un DU de journalisme.
Selon Mira Tchen, la communication est « un secteur porteur d’emploi ». De quoi motiver les élèves de la CVP.
Rédaction Web avec Tauhiti Tauniua Mu San