Le Heiva San Diego 2014 s’est tenu les 9 et 10 août. Le concours des meilleurs danseurs et danseuses a terminé les festivités. Cette compétition individuelle est tellement prisée qu’elle a attiré 360 inscrits ! Une lourde tâche pour le jury tahitien.
C’est la quatrième édition du Heiva de San Diego et le succès se confirme.
Âgés de 4 à 70 ans, les danseurs et danseuses étaient très motivés. Avec plus de trois cents concurrents, des éliminatoires ont du être organisés, à raison de 4 à 7 danseurs par série. Chaque concurrent avait un minute et demie pour donner le meilleur de lui-même devant le jury tahitien, comme l’explique Fabien Dinard qui avait effectué le déplacement pour présider le jury.
A l’issue de la première journée de compétition, sur 360 engagés, la moitié a accédé à l’étape suivante. Les demie finales et finales étant de qualité, le jury a eu du mal à se prononcer.
Dans la catégorie reine des 18-21 ans, Mensa Muller et Justin Almogela ont remporté le premier prix.
Pour les lauréats, c’est la consécration ! Le fruit de longues heures d’entraînements, mais surtout la fierté de savoir pratiquer un ori Tahiti digne de ce nom. Si la culture polynésienne était bien représentée lors de cette 4e édition du Heiva San Diego, nul n’oublie l’excellence vient de Polynésie.
C’est la quatrième édition du Heiva de San Diego et le succès se confirme.
Âgés de 4 à 70 ans, les danseurs et danseuses étaient très motivés. Avec plus de trois cents concurrents, des éliminatoires ont du être organisés, à raison de 4 à 7 danseurs par série. Chaque concurrent avait un minute et demie pour donner le meilleur de lui-même devant le jury tahitien, comme l’explique Fabien Dinard qui avait effectué le déplacement pour présider le jury.
A l’issue de la première journée de compétition, sur 360 engagés, la moitié a accédé à l’étape suivante. Les demie finales et finales étant de qualité, le jury a eu du mal à se prononcer.
Dans la catégorie reine des 18-21 ans, Mensa Muller et Justin Almogela ont remporté le premier prix.
Pour les lauréats, c’est la consécration ! Le fruit de longues heures d’entraînements, mais surtout la fierté de savoir pratiquer un ori Tahiti digne de ce nom. Si la culture polynésienne était bien représentée lors de cette 4e édition du Heiva San Diego, nul n’oublie l’excellence vient de Polynésie.