La « Croix-Rouge – Enfants du Fenua » à la recherche de parrains et marraines

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La "Croix-Rouge – Enfants du Fenua" a besoin de parrains et de marraines afin de s’occuper d’enfants défavorisés. Aujourd’hui, seules douze marraines sont investies dans l’aventure et cela reste insuffisant. Les bénévoles désireux d’aider un enfant sont donc invités à se faire connaitre auprès de la Croix-Rouge.

Publié le 23/10/2019 à 15:00 - Mise à jour le 31/10/2019 à 12:06

La "Croix-Rouge – Enfants du Fenua" a besoin de parrains et de marraines afin de s’occuper d’enfants défavorisés. Aujourd’hui, seules douze marraines sont investies dans l’aventure et cela reste insuffisant. Les bénévoles désireux d’aider un enfant sont donc invités à se faire connaitre auprès de la Croix-Rouge.

Hélène est retraitée de l’éducation. Lorsqu’elle était en activité, elle a toujours voulu aider les enfants les plus démunis. En juin 2018, elle décide avec son mari de franchir le pas. Sous l’égide de la « Croix-Rouge – Enfants du Fenua », Hélène a choisi de venir en aide à Hinatea Elodie, âgée de dix ans. Elle la récupère tous les mercredis et vendredis après-midi après l’école.

« La première chose qu’elle fait quand elle rentre, c’est se jeter dans la piscine car elle adore ça. Et elle nage très bien. Elle a même appris à plonger. Et ensuite, on regarde bien-sûr si elle a du travail à faire, on goûte si elle n’a pas goûté… Cela varie en fonction des jours, mais l’une des choses les plus importantes, c’est de faire en sorte que son travail soit fait, et ensuite de répondre un peu à ses attentes. Si elle a envie de jouer à quelque chose, eh bien on joue. Il nous arrive aussi d’aller nous promener, de faire des randonnées en montagne… » nous dit Hélène Pascal-Mazeau, marraine.

Depuis sa création, le collectif a parrainé 150 enfants défavorisés. Dépendante de la Croix-Rouge, elle compte aujourd’hui une douzaine de marraines, un nombre insuffisant. « On cherche des personnes qui souhaiteraient s’occuper d’un enfant défavorisé de leur quartier une à deux fois par semaine. Ce sont les personnes qui vont choisir les jours, les horaires et la durée qui leur convienne. C’est vraiment très souple, cela peut être en semaine, le week-end… et ça peut changer. Après, les personnes seront en contact directement avec la famille » explique Aude Delaunay, secrétaire de la Croix-Rouge.

Les personnes désirant répondre à cet appel sont invitées à prendre contact avec la Croix-Rouge du fenua.

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