Dans un communiqué, la confédération A Ti’a I Mua annonce qu’elle ne soutient pas le mouvement de grève en cours à la CPS. A Ti’a i Mua s’explique ainsi : « Si le droit de grève reste un principe fondamental et respecté de notre centrale, il doit être utilisé à bon escient. Un point de la situation montre en effet que :
1- le président du Pays a confirmé que la convention d’entreprise de la CPS n’était plus une condition de la négociation Etat-Pays sur le retour au financement du RSPF.
2 – sur la pérennité de notre système de protection sociale, ce n’est pas en se mettant en grève, ni en bloquant l’accès des non grévistes au siège de la CPS que la Protection Sociale Généralisée sera sauvée. Au contraire, le pays a besoin de tous les salariés de la CPS et de leur travail quotidien pour y arriver.
3 – sur la direction de la CPS, le directeur général ne fait que mettre en application les décisions prises par le conseil d’administration, ce même conseil dont font partie les centrales signataires des préavis de grève. »
1- le président du Pays a confirmé que la convention d’entreprise de la CPS n’était plus une condition de la négociation Etat-Pays sur le retour au financement du RSPF.
2 – sur la pérennité de notre système de protection sociale, ce n’est pas en se mettant en grève, ni en bloquant l’accès des non grévistes au siège de la CPS que la Protection Sociale Généralisée sera sauvée. Au contraire, le pays a besoin de tous les salariés de la CPS et de leur travail quotidien pour y arriver.
3 – sur la direction de la CPS, le directeur général ne fait que mettre en application les décisions prises par le conseil d’administration, ce même conseil dont font partie les centrales signataires des préavis de grève. »
Pour la confédération, « une grève aujourd’hui à la CPS ne résoudra rien. Tous les salariés de la CPS, y compris le directeur général, dans le cadre de leurs activités, ont besoin du soutien de tous ».
Le communique :