Les importations de biens de consommation courante progressent à nouveau faiblement de +0,8 %, mais celles de biens alimentaires et d’équipement ménager diminuent sur le trimestre de respectivement -8,8 % et -2,5 %.
Reflet d’un marché automobile mieux orienté, les immatriculations de véhicules de tourisme neufs augmentent en revanche sensiblement (+12,2 % sur trois mois et +17,7 % sur un an).
Dans l’ensemble, les commerçants ayant répondu à l’enquête de conjoncture constatent une diminution de leur activité́ au troisième trimestre et anticipent une stabilisation de celle-ci pour les mois à venir.
En parallèle, l’encours des crédits à la consommation diminue (-1,5 %) entre juin et septembre 2014, pour le troisième trimestre consécutif.
Concernant les prix à la consommations. Ils sont en légère baisse au troisième trimestre 2014 (-0,2%), après +0,1 % au deuxième trimestre. Les tarifs des transports diminuent de 1,4 % en raison de la baisse des tarifs aériens internationaux (-4,9 %) en fin de haute saison touristique. En revanche, les prix des produits alimentaires progressent de 2,1 %, tirés par la hausse des prix des poissons et crustacés (+8,6 %), de la viande (+1,2 %) et des légumes (+1,7 %).
Sur un an, l’indice des prix est quasi stable (-0,1 %). Les prix des produits alimentaires (+1,9 %) et des services de restauration (+2,1 %) s’inscrivent en hausse. À l’inverse, les loyers (-1,5 %) et les tarifs des transports aériens (-5,4 %) sont en repli.
Enfin, l’indicateur du climat des affaires (ICA) fléchit légèrement au troisième trimestre 2014 (-1,7 point), mais reste solidement établi au-dessus de sa moyenne de longue période (+9,3 points) pour le troisième trimestre consécutif.
Ce léger tassement s’explique principalement par des anticipations moins favorables des chefs d’entreprise sur le trimestre à venir, notamment sur leur trésorerie et le niveau d’activité́ escompté pour la fin d’année. Dans une moindre mesure, le jugement des professionnels sur le trimestre passé, moins dynamique qu’espéré́, pèseégalement sur l’indicateur.
Dans ce contexte, l’investissement reste bien orienté mais peu dynamique, et les intentions d’investir à un an des entreprises, quoique toujours favorables, ont été́ revues à la baisse. En parallèle, la consommation des ménagesfléchitlégèrement, en dépit de la contraction des prix à la consommation et de la stabilisation progressive du marché du travail.
Sur le plan sectoriel, les évolutions sont contrastées. L’activité́ est stable dans les secteurs clés de la construction et du tourisme, tandis qu’elle évolue favorablement dans l’industrie agroalimentaire et les services, qui bénéficient d’une amélioration de leur trésorerie. En revanche, le secteur primaire et le commerce voient leur courant d’affaires se dégrader, en lien avec la relative faiblesse de la consommation des ménages.
Reflet d’un marché automobile mieux orienté, les immatriculations de véhicules de tourisme neufs augmentent en revanche sensiblement (+12,2 % sur trois mois et +17,7 % sur un an).
Dans l’ensemble, les commerçants ayant répondu à l’enquête de conjoncture constatent une diminution de leur activité́ au troisième trimestre et anticipent une stabilisation de celle-ci pour les mois à venir.
En parallèle, l’encours des crédits à la consommation diminue (-1,5 %) entre juin et septembre 2014, pour le troisième trimestre consécutif.
Concernant les prix à la consommations. Ils sont en légère baisse au troisième trimestre 2014 (-0,2%), après +0,1 % au deuxième trimestre. Les tarifs des transports diminuent de 1,4 % en raison de la baisse des tarifs aériens internationaux (-4,9 %) en fin de haute saison touristique. En revanche, les prix des produits alimentaires progressent de 2,1 %, tirés par la hausse des prix des poissons et crustacés (+8,6 %), de la viande (+1,2 %) et des légumes (+1,7 %).
Sur un an, l’indice des prix est quasi stable (-0,1 %). Les prix des produits alimentaires (+1,9 %) et des services de restauration (+2,1 %) s’inscrivent en hausse. À l’inverse, les loyers (-1,5 %) et les tarifs des transports aériens (-5,4 %) sont en repli.
Enfin, l’indicateur du climat des affaires (ICA) fléchit légèrement au troisième trimestre 2014 (-1,7 point), mais reste solidement établi au-dessus de sa moyenne de longue période (+9,3 points) pour le troisième trimestre consécutif.
Ce léger tassement s’explique principalement par des anticipations moins favorables des chefs d’entreprise sur le trimestre à venir, notamment sur leur trésorerie et le niveau d’activité́ escompté pour la fin d’année. Dans une moindre mesure, le jugement des professionnels sur le trimestre passé, moins dynamique qu’espéré́, pèseégalement sur l’indicateur.
Dans ce contexte, l’investissement reste bien orienté mais peu dynamique, et les intentions d’investir à un an des entreprises, quoique toujours favorables, ont été́ revues à la baisse. En parallèle, la consommation des ménagesfléchitlégèrement, en dépit de la contraction des prix à la consommation et de la stabilisation progressive du marché du travail.
Sur le plan sectoriel, les évolutions sont contrastées. L’activité́ est stable dans les secteurs clés de la construction et du tourisme, tandis qu’elle évolue favorablement dans l’industrie agroalimentaire et les services, qui bénéficient d’une amélioration de leur trésorerie. En revanche, le secteur primaire et le commerce voient leur courant d’affaires se dégrader, en lien avec la relative faiblesse de la consommation des ménages.