Le concept se voulait économique et fédérateur. Mais la difficulté des proviseurs à le rendre obligatoire, et la volonté de liberté des élèves dans leurs tenues ont eu raison de ces uniformes à l’anglo-saxonne.
« Ils ne souhaitent pas obliger l’élève à porter l’uniforme. Tous les matins, les enfants arrivent sans uniforme. Il faut leur répéter sans arrêt. Ça fait qu’au final, ils (les établissements, NDLR) ont lâché l’affaire », explique Alicia Descarpentries.
La commune de Faa’a, dont le maire était à l’initiative de la généralisation des uniformes, vient elle-même d’abandonner le port de cette tenue dans ses établissements du secondaire.
Alicia Descarpentries responsable d’un magasin de textile