Un premier malade avait été repéré de la même manière au début du mois. L’ homme, âgé de 79 ans habitait le quartier de Magenta à Nouméa. La mairie de Nouméa avait alors organisé une lutte anti-vectorielle avec épandage d’insecticide autour du domicile de la personne infectée. Une « recherche active » d’autres cas éventuels, ainsi qu’une distribution de répulsifs cutanés et de tracts d’information avaient été mis en place.
La Nouvelle-Calédonie, qui dispose d’une liaison aérienne hebdomadaire directe avec Tahiti en plus des vols indirects par Auckland, redoute une contamination du virus du chikungunya.
Depuis le recensement des premiers cas en Polynésie le 10 octobre, un dispositif de dépistage et de prévention a été mis en place à l’aéroport.