Au terme de trois jours de discussions, le président du Pays et le président de la société Tian Rui International Investment Limited ont signé jeudi soir 26 juin à la présidence les conventions de mise à disposition des terres domaniales sur lesquelles vont être érigées les infrastructures de la ferme aquacole.
Ce sont plus exactement trois conventions qui ont été signées ; les deux premières concernent la location des terres domaniales et l’usage des infrastructures portuaires de Hao pour les besoins de la société aquacole Tahiti Nui Ocean Food. La dernière concerne l’énergie solaire.
La première convention signée par Marcel Tuihani, ministre des Affaires foncières, porte sur la location de 24 hectares de terres domaniales. Pour une première période de 15 ans. Il s’agit d’une mise à disposition gracieuse. Le loyer court à compter de la 16e année pour une nouvelle période de 15 ans, renouvelée par tacite reconduction pour une durée maximale de 99 ans au-delà de laquelle la reconduction du bail fera l’objet d’une renégociation. La location se fait sur un prix de 23.635.000 Fcfp par an. Un tarif qui peut être réactualisé selon l’évolution du coût de la vie.
Les travaux devaient démarrer dans les six mois. La société aquacole prend en charge la construction d’un mur de protection dans le prolongement du mur existant. La convention prévoit également que les principaux ouvrages nécessaires à l’exploitation de la ferme devront être construits dans un délai de 5 ans, période au-delà de laquelle la convention deviendrait caduque.
La seconde convention signée par le ministre de l’Équipement Albert Solia porte sur l’usage des infrastructures portuaires de Hao, notamment le quai construit par les militaires et affecté depuis au Pays. Le Pays a convenu que l’usage de ces infrastructures se ferait à titre gracieux ; en contrepartie la société fera sienne les travaux de remise à niveau des installations portuaires. De plus la société aquacole devra accorder un accès prioritaire absolu au quai aux navires immatriculés en Polynésie française. En outre, elle ne pourra déployer aucune activité contraire à celle prévue dans la convention et liée aux besoins de l’exploitation de la ferme aquacole.
Enfin une troisième convention a été signée entre le président Gaston Flosse et Cheng Wang concernant le développement des énergies renouvelables. Ce protocole d’accord autorise la société Shun Feng, spécialisée dans l’énergie photovoltaïque, représentée par Cheng Wang, à créer une société locale afin de développer la production des énergies renouvelables en Polynésie française par l’implantation de fermes solaires.
La convention prévoit dans un premier temps l’installation d’une ferme solaire d’une puissance de 10 mégawatts sur des terrains domaniaux loués sur des périodes de 25 ans renouvelables sans pouvoir dépasser 99 ans.
Les équipes de techniciens et d’ingénieurs vont arriver courant juillet pour finaliser les études d’implantation de la ferme sur les nouveaux sites et établir le calendrier des travaux.
Ce sont plus exactement trois conventions qui ont été signées ; les deux premières concernent la location des terres domaniales et l’usage des infrastructures portuaires de Hao pour les besoins de la société aquacole Tahiti Nui Ocean Food. La dernière concerne l’énergie solaire.
La première convention signée par Marcel Tuihani, ministre des Affaires foncières, porte sur la location de 24 hectares de terres domaniales. Pour une première période de 15 ans. Il s’agit d’une mise à disposition gracieuse. Le loyer court à compter de la 16e année pour une nouvelle période de 15 ans, renouvelée par tacite reconduction pour une durée maximale de 99 ans au-delà de laquelle la reconduction du bail fera l’objet d’une renégociation. La location se fait sur un prix de 23.635.000 Fcfp par an. Un tarif qui peut être réactualisé selon l’évolution du coût de la vie.
Les travaux devaient démarrer dans les six mois. La société aquacole prend en charge la construction d’un mur de protection dans le prolongement du mur existant. La convention prévoit également que les principaux ouvrages nécessaires à l’exploitation de la ferme devront être construits dans un délai de 5 ans, période au-delà de laquelle la convention deviendrait caduque.
La seconde convention signée par le ministre de l’Équipement Albert Solia porte sur l’usage des infrastructures portuaires de Hao, notamment le quai construit par les militaires et affecté depuis au Pays. Le Pays a convenu que l’usage de ces infrastructures se ferait à titre gracieux ; en contrepartie la société fera sienne les travaux de remise à niveau des installations portuaires. De plus la société aquacole devra accorder un accès prioritaire absolu au quai aux navires immatriculés en Polynésie française. En outre, elle ne pourra déployer aucune activité contraire à celle prévue dans la convention et liée aux besoins de l’exploitation de la ferme aquacole.
Enfin une troisième convention a été signée entre le président Gaston Flosse et Cheng Wang concernant le développement des énergies renouvelables. Ce protocole d’accord autorise la société Shun Feng, spécialisée dans l’énergie photovoltaïque, représentée par Cheng Wang, à créer une société locale afin de développer la production des énergies renouvelables en Polynésie française par l’implantation de fermes solaires.
La convention prévoit dans un premier temps l’installation d’une ferme solaire d’une puissance de 10 mégawatts sur des terrains domaniaux loués sur des périodes de 25 ans renouvelables sans pouvoir dépasser 99 ans.
Les équipes de techniciens et d’ingénieurs vont arriver courant juillet pour finaliser les études d’implantation de la ferme sur les nouveaux sites et établir le calendrier des travaux.