Rappelant que » les conséquences catastrophiques de ces différents blocages pèsent lourdement sur notre économie et nuisent gravement à la bonne santé des entreprises de Tahiti et des iles », la CGPME constate que » l’image de la Polynésie française est une fois encore écornée, à nouveau victime de l’irresponsabilité d’un syndicalisme d’un autre temps ».
Pour la confédération des petites et moyennes entreprises, » Il est triste de constater que notre pays est une fois encore victime d’une poignée d’irréductibles qui ont fait de la prise d’otages un recours habituel du syndicalisme local ». « Bloquer plus pour gagner plus !!! » conclut le communiqué.