Enfin, la gestion des intempéries du premier trimestre 2017 a mis en avant la nécessité d’inscrire dans le droit des règles adaptées à ces situations. Ainsi, le ministre propose une optimisation des procédures de recensement et d’octroi des aides aux sinistrés tenant compte du caractère d’urgence qu’imposent ces événements climatiques.
Ce dispositif qui sera soumis à l’examen de l’assemblée de la Polynésie française répond ainsi au besoin d’un cadre réglementaire relatif aux aides aux personnes sinistrées dont la résidence principale est endommagée, détruite ou rendue impropre à sa destination, lors d’un événement naturel constitutif d’une calamité naturelle. Le CESC a déjà émis un avis favorable au présent projet.