Plus de 280 employés de l’hôpital ont ramé sur leur lieu de travail. Une manière d’afficher leur volonté de donner leurs organes en cas de décès.
Les Polynésiens sont de plus en plus nombreux (60%, selon un sondage en mai dernier) à accepter le don d’organes pour sauver des vies. Le problème… c’est que leur famille ne le sait pas toujours. 42% d’entre eux n’en ont jamais parlé à leurs proches.
Après trois minutes d’intenses efforts, les rameurs pouvaient s’informer sur les panneaux d’affichages. Ou aller sur www.redonnervie.org et apprendre, par exemple, qu’aucune confession religieuse représentée au fenua n’est opposée au don d’organes.
Le personnel de l’hôpital pouvait aussi remplir sa carte de donneur, à insérer dans le portefeuille, pour faire connaître sa volonté en cas de décès par accident. Et pour sauver l’un des 151 patients polynésiens en attente de greffe rénale.
Les Polynésiens sont de plus en plus nombreux (60%, selon un sondage en mai dernier) à accepter le don d’organes pour sauver des vies. Le problème… c’est que leur famille ne le sait pas toujours. 42% d’entre eux n’en ont jamais parlé à leurs proches.
Après trois minutes d’intenses efforts, les rameurs pouvaient s’informer sur les panneaux d’affichages. Ou aller sur www.redonnervie.org et apprendre, par exemple, qu’aucune confession religieuse représentée au fenua n’est opposée au don d’organes.
Le personnel de l’hôpital pouvait aussi remplir sa carte de donneur, à insérer dans le portefeuille, pour faire connaître sa volonté en cas de décès par accident. Et pour sauver l’un des 151 patients polynésiens en attente de greffe rénale.
Mike Leyral