Selon Josselyn Barret, les dégâts sur le tuyau dateraient de « très peu de temps ». « A partir du moment où on met quelque chose dans la mer, on a des concrétions et une biologisation des structures qui se font. Après, on voit bien les différences entre les manchettes déconnectées et la canalisation elle-même, ce qui permet de déterminer que le dommage date de très peu de temps ». Selon lui, en Polynésie, « c’est une obligation » : toute infrastructure posée sous l’eau doit être examinée tous les ans.
Des réparations plus « profondes » sont à venir. Elle permettront de « remettre le tuyau sur son chemin initial ». Les réparations qui ont déjà été faites sont provisoires et permettent que les eaux usées soient rejetées plus loin, à « 60 mètres » de la côte.
Josselyn Barret, gérant et propriétaire de la société Pacific Ocean Scuba-services.