Les premiers États généraux de la production audiovisuelle et cinématographie des Outre-mer ont débuté ce mardi. Jusqu’à samedi une quarantaine d’acteurs privés et institutionnels ultramarins font le point sur leur secteur d’activité.
Dans son discours, Edouard Fritch a salué cette initiative de Christine Vial-Collet, présidente de l’association des producteurs de cinéma et d’audiovisuel de Guadeloupe, et de Christine Tisseau-Giraudel, présidente du syndicat de la production audiovisuelle en Polynésie, et a tenu à les remercier d’avoir retenu la Polynésie française pour l’organisation de cet événement.
Pour le président du Pays : « regrouper les Outre mers pour dégager des perspectives communes et tenter de parler d’une seule voix est une excellente initiative ». Pour Edouard Fritch, « toutes ces identités se retrouvent dès lors qu’il s’agit de parler des grands enjeux, et notamment quand il s’agit d’affirmer leur présence à part entière dans l’ensemble national. C’est bien en étant regroupées que les collectivités ont le plus de chance de se faire entendre et d’être une force de propositions structurée pour le développement de la filière audiovisuelle et cinématographique dans les outre mer français ».
Edouard Fritch a émis le souhait que cette filière ne soit pas cantonnée aux seuls outre mers, mais qu’elle dépasse les frontières marines et se propagent au niveau national, voir international.
Dans son discours, Edouard Fritch a salué cette initiative de Christine Vial-Collet, présidente de l’association des producteurs de cinéma et d’audiovisuel de Guadeloupe, et de Christine Tisseau-Giraudel, présidente du syndicat de la production audiovisuelle en Polynésie, et a tenu à les remercier d’avoir retenu la Polynésie française pour l’organisation de cet événement.
Pour le président du Pays : « regrouper les Outre mers pour dégager des perspectives communes et tenter de parler d’une seule voix est une excellente initiative ». Pour Edouard Fritch, « toutes ces identités se retrouvent dès lors qu’il s’agit de parler des grands enjeux, et notamment quand il s’agit d’affirmer leur présence à part entière dans l’ensemble national. C’est bien en étant regroupées que les collectivités ont le plus de chance de se faire entendre et d’être une force de propositions structurée pour le développement de la filière audiovisuelle et cinématographique dans les outre mer français ».
Edouard Fritch a émis le souhait que cette filière ne soit pas cantonnée aux seuls outre mers, mais qu’elle dépasse les frontières marines et se propagent au niveau national, voir international.
Les conclusions de ce premier colloque seront présentées au mois de janvier au ministère de la Culture, à Paris.
Rédaction web