Ils ont de la famille à Nice, ou sont simplement marqués par la tragédie. Ils étaient près de 200 ce lundi, réunis devant le bâtiment du haut-commissariat. « Il y avait de la famille là-bas, des personnes âgées qui ont couru aussi, qui sont tombées », raconte une femme, tenant une photo de la promenade des Anglais.
Un père de famille est venu avec ses enfants : « Je voulais faire participer les enfants parce qu’ils ont été touchés par ces événements depuis un an et demi », explique-t-il.
Un père de famille est venu avec ses enfants : « Je voulais faire participer les enfants parce qu’ils ont été touchés par ces événements depuis un an et demi », explique-t-il.
« Ils ont frappé vraiment un grand symbole. La promenade des Anglais est connue dans le monde entier. C’est un endroit qui est devenu symbolique et envers et contre tout il le restera », témoigne Raymond Bagnis qui a longtemps vécu à Nice. Pour lui, la Promenade des Anglais, lieu du drame, était à l’époque l’endroit où on « rencontrait le monde », là où des personnes de toutes origines se retrouvaient, échangeaient.
Les autorités de l’État et du Pays ont aussi participé à ce rassemblement.
Les autorités de l’État et du Pays ont aussi participé à ce rassemblement.
Le recueillement a été suivi d’une messe en mémoire des disparus, à la cathédrale de Papeete.
Au tribunal de Papeete, les magistrats, fonctionnaires, avocats et huissiers, en robes d’audience, ont observé une minute de silence.
Déjà vendredi , quelques centaines de Polynésiens s’étaient réunies en centre-ville de Papeete, promenade de Nice, en soutien aux familles des victimes.
Après le drame, le Président de la République avait proclamé 3 jours de deuil national. L’attentat a fait 84 morts, dont 10 enfants et adolescents, et plus de 300 blessés.
Au tribunal de Papeete, les magistrats, fonctionnaires, avocats et huissiers, en robes d’audience, ont observé une minute de silence.
Déjà vendredi , quelques centaines de Polynésiens s’étaient réunies en centre-ville de Papeete, promenade de Nice, en soutien aux familles des victimes.
Après le drame, le Président de la République avait proclamé 3 jours de deuil national. L’attentat a fait 84 morts, dont 10 enfants et adolescents, et plus de 300 blessés.
Rédaction Web (Interviews : Thomas Chabrol / Tamara Sentis )
Vos témoignages