La CSIP dénonce le manque d’effectifs, un malaise « profond du personnel envers la DRH » concernant des suppressions de postes mais aussi des « propos déplacés et méprisants envers les anciens salariés ». La CSIP note également des fiches de postes qui ne correspondent pas aux tâches des salariés et des « pressions exercées » pour la signature d’avenants lors de changements des qualifications.
Sans accord, la grève pourrait débuter vendredi 9 novembre à minuit dans les aéroports de Tahiti, Raiatea, Bora Bora et Rangiroa.
Rédaction web
Le préavis de grève :