À Rangiroa, Rosalie multiplie les activités

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Direction Rangiroa où Rosalie, comme beaucoup d'autres, ne se contente pas du coprah pour vivre...

Publié le 26/02/2021 à 9:55 - Mise à jour le 26/02/2021 à 9:58

Direction Rangiroa où Rosalie, comme beaucoup d'autres, ne se contente pas du coprah pour vivre...

Quand il fait beau, il est fréquent de voir Rosalie au séchoir familial, en bord de route, en plein milieu du village de Avatoru. Quand le soleil frappe fort, elle en profite pour sécher la chair de coco fraîchement décortiquée.

Après avoir tout organisé, elle laisse ses neveux et nièces s’en occuper pour vaquer à d’autres occupations. Rosalie, comme beaucoup de villageois de Rangiroa, est polyvalente : « je vais à la poissonnerie, je fais un peu de tout : filer le poisson, après il y a le ménage…. un peu de mécanique aussi. Il faut être polyvalente. »

Même si elle a plusieurs activités, Rosalie ne néglige pas le coprah. Il lui rapporte en moyenne 50 000 Fcfp par mois. Et quelques fois, trois fois plus… « C’est du travail mais à la fin on est contents quand on reçoit la paie. Ça aide. »

La crise de la covid a très peu affecté les personnes comme Rosalie, très polyvalentes qui trouvent toujours un moyen de rebondir…

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