50 intervenants pour le premier Forum des métiers du collège Henri Hiro

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Cinquante intervenants ont enchainé les présentations devant les 200 élèves des classes de 4e et 3e du collège Henri Hiro ce mardi à l'occasion du premier Forum des métiers de l'établissement.

Publié le 15/02/2022 à 15:12 - Mise à jour le 15/02/2022 à 15:13

Cinquante intervenants ont enchainé les présentations devant les 200 élèves des classes de 4e et 3e du collège Henri Hiro ce mardi à l'occasion du premier Forum des métiers de l'établissement.

Le collège Henri Hiro organisait ce mardi son premier forum des métiers. Et l’établissement scolaire a vu les choses en grand : « Il y a à peu près une cinquantaine d’intervenants, 31 groupes de 8 élèves, donc ça fait plus de 800 créneaux. Donc oui, une grosse organisation. Mais ça se passe plutôt bien, assure Hintze Aroma CPE. Le forum a été mis en place pour élargir leurs horizons de manière à ce que pour les élèves de 4e, l’année prochaine, ils puissent préparer au mieux l’orientation. Et pour ceux de 3e, c’est pour l’orientation de fin d’année. »

Tous les élèves des classes de 4e et 3e soit plus de 200 personnes, sont venues écouter les intervenants de tous horizons présenter leur métier et les études pour y arriver. « On essaie d’avoir une pléthore d’intervenants du CAP cuisine au pilote d’avion, hôtesse, avocat, métiers de la mer… C’est varié. Le but c’est de peut-être susciter des vocations et élargir leurs horizons. »

Parmi les intervenants, des représentants des forces de l’ordre. Pour Manuterari Hunter, brigadier chef, « c’est important d’être présents (…) Le message c’est de bien travailler à l’école, avoir un diplôme et peut-être passer le concours de la police nationale. »

Le but aussi est d’attirer même les élèves les plus en difficulté : « S’ils veulent entrer directement dans le monde du travail, il y a des filières. S’ils ont des difficultés scolaires, qu’ils n’ont pas de diplômes, ils peuvent passer les recrutements de la police nationale. Comme les cadets de la République qui sont les moins diplômés. Ça leur permet en fait de passer le concours de gardien de la paix par la suite sans avoir de diplôme. « 

Au terme d’une journée complète avec les professionnels, les élèves ont été séduits.

Crédit Tahiti Nui Télévision

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