Le collectif indique qu’il y a 2,5 fois plus de victimes de coups et blessures en Polynésie qu’en métropole. Il ajoute que 65% des 2 549 victimes de violences se situent dans la sphère familiale, dont 80% de femmes. Le collectif a ainsi présenté des constats et des propositions à la fois préventives et curatives sur le sujet des violences intra-familiales.
Pour le groupement, « lorsque l’on violente une femme, on violente une famille ». Compte tenu de la situation récurrente des violences intra-familiales, le Président Fritch a proposé la tenue d’un forum sur le sujet afin de mobiliser à nouveau la population, les maires, le Pays et l’État, et d’avoir ainsi en la matière une réponse concrète, concertée, coordonnée et cohérente.