« La Cour s’est engagée à mettre à disposition de l’association des locaux qui soient adaptés, suffisamment proches de la salle d’audience… c’est pour cela que nous avons prévu de les faire dans la salle des pas perdus : pour une facilité d’accès au justiciable. C’est la loi qui l’impose et nous étions les derniers à le mettre en oeuvre, mais il y avait un souci de place. » précise Régis Vouaux-Massel, premier président de la Cour d’appel de Papeete.
L’APAJ est déjà présente sur le Front de mer à Paofai. Une juriste propose aujourd’hui 4 permanences en matinée.
« Le tribunal impressionne beaucoup les justiciables. Certains ne comprennent pas les termes qui sont employés, ou ont tout simplement peur de parler devant tout le monde. Et le fait qu’elles aient quelqu’un avec elles, ça leur permet d’être rassurées par la présence d’une tierce personne, et d’être rassurées par rapport à ce qu’il va se passer à l’audience », explique Wendy Otomimi, responsable du bureau d’aide aux victimes.
Les victimes d’infractions apprécient ce nouveau dispositif : « Nous on a tout perdu. Mon mari ne travaille plus, on a les enfants à charge… J’ai vraiment besoin qu’on m’aide. Nous on vient des îles et on ne connaît pas bien Papeete… on nous envoie partout… c’est pour ça que je suis venue ici », raconte une victime d’agression originaire de l’île soeur.
Laure Philiber
L’APAJ est déjà présente sur le Front de mer à Paofai. Une juriste propose aujourd’hui 4 permanences en matinée.
« Le tribunal impressionne beaucoup les justiciables. Certains ne comprennent pas les termes qui sont employés, ou ont tout simplement peur de parler devant tout le monde. Et le fait qu’elles aient quelqu’un avec elles, ça leur permet d’être rassurées par la présence d’une tierce personne, et d’être rassurées par rapport à ce qu’il va se passer à l’audience », explique Wendy Otomimi, responsable du bureau d’aide aux victimes.
Les victimes d’infractions apprécient ce nouveau dispositif : « Nous on a tout perdu. Mon mari ne travaille plus, on a les enfants à charge… J’ai vraiment besoin qu’on m’aide. Nous on vient des îles et on ne connaît pas bien Papeete… on nous envoie partout… c’est pour ça que je suis venue ici », raconte une victime d’agression originaire de l’île soeur.
Laure Philiber
Pour en savoir plus sur ce nouveau bureau d’aide aux victimes : le numéro de l’APAJ: deux numéros de téléphone: le 40 43 20 41 et le 87 79 21 12
Les permanences ont lieu les mardi, jeudi et vendredi de 7h30 à 11 heures et le mercredi de 8h à 10 heures.
Les permanences ont lieu les mardi, jeudi et vendredi de 7h30 à 11 heures et le mercredi de 8h à 10 heures.